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1. |
Vole
04:07
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VOLE
(paroles et musique : Ludovic Lefèvre)
T’en as donc fait un long chemin,
Connu des vagues et des courants,
Des rois, des fous, des magiciens,
Des gens qui savent mieux que les gens,
Il n’y a que toi qui sais,
Il n’y a que toi qui sens
Tout ce qui brûle en toi,
Qui attend sa voie…
REFRAIN : Alors vole, vole, va plus haut vers le ciel,
Chante encore, plus fort, les rêves qui t’appellent,
Il y a tant d’Amour, tant de Lumière, tant de vie qui te tend les bras ;
N’attends plus, ouvre tes ailes et lâche,
Plonge vers l’inconnu…
Alors ouvre tes ailes, et vole.
T’en as donc vu bien du pays,
Franchi des cols, bâti des ponts,
Passé des chiens et des treillis,
Des murs qu’on place sur l’horizon,
Il n’y a que toi qui sais,
Il n’y a que toi qui peux
Rallumer la flamme
Au fond de leurs yeux…
REFRAIN : Alors vole, vole, va plus haut vers le ciel,
Cherche encore, dévore, va retrouver l’étincelle,
Il y a tant de jour, tant d’or en terre, tant de vie qui te tend la main ;
N’attends plus, envole-toi vers demain,
Plonge vers l’inconnu…
Alors ouvre tes ailes, et vole.
Laisse en chemin les peines et les regrets ;
Regarde au loin, et à jamais…
REFRAIN : Vole, vole, va plus haut vers le ciel,
Chante encore, plus fort, les rêves qui t’appellent,
Il y a tant d’Amour, tant de Lumière, tant de vie qui te tend les bras ;
N’attends plus, ouvre tes ailes et lâche,
Plonge vers l’inconnu…
Alors ouvre tes ailes, et
REFRAIN : Vole, vole, vole et vole encore,
Mets les voiles, décolle pour un nouveau décor,
Il n’y a pas de mer, pas de frontière qui peuvent te retenir,
Alors ne doute plus ; vole vers ton avenir,
Qui brille dans les nues…
Alors ouvre tes ailes, et vole.
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2. |
Toi et moi
03:31
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TOI ET MOI
(paroles et musique : Ludovic Lefèvre)
Je voulais juste t’écrire un petit mot,
Mais voilà maintenant je sais plus trop ;
Rien n’est jamais simple quand c’est toi et moi.
Juste pour te dire que je vais bien,
Même si parfois encore le chagrin
Me prend lorsque je repense à toi et moi.
Faut dire que c’est plus qu’une simple histoire,
Celle qui nous a mis sur le trottoir,
Les deux yeux trempés, le cœur hagard…
Te dire que j’espère que tu vas bien,
Que la joie toujours suit ton chemin,
Et que les étoiles brillent pour toi, sans moi.
Te dire que parfois j’ai des regrets,
Et bien sûr on ne saura jamais
Ce que l’avenir gardait pour toi et moi.
Je n’ai sans doute pas été parfait,
Et qui d’entre nous le sera jamais,
Mais il y a une chose qu’au fond je sais…
REFRAIN : Que si notre amour est bien perdu,
Qu’il ne fleurissait jamais plus,
Il restera au fond de moi : toi et moi.
Les mois et les ans pourront passer,
Moi, je t’oublierai jamais ;
Toujours imprégné de toi, toi et moi.
Maintenant la vie a repris son cours,
Je cours un peu partout, je ne vois pas le jour ;
Je crois que ça m’aide à moins penser à toi et moi.
Et bientôt je retenterai ma chance :
Goûter à d’autres peaux, à d’autres danses,
Même si elles ne seront jamais toi pour moi.
Et j’espère que toi aussi tu vis,
Que tu débordes toujours autant d’envies,
Mais quoiqu’il en soit je sais aussi…
REFRAIN : Que si notre histoire est terminée,
Qu’elle ne reprenait jamais,
Elle restera toujours en moi… toi et moi.
Et le temps pourra bien passer,
Rien ne pourra s’effacer ;
Toujours écorché de toi… toi et moi.
Et peut-être, qui sait, un jour,
Au hasard d’un détour,
Ce sera à nouveau toi et moi…
Je voulais juste t’écrire un petit mot,
Mais comment le dire ? Je sais pas trop ;
Je trouve jamais les phrases quand c’est pour toi et moi.
Te dire que notre histoire, c’était pas rien,
Et ainsi en a voulu le destin ;
Il n’a pas été tendre avec toi et moi.
Maintenant, c’est la vie qui poursuit
Toujours sa course folle et sans répit,
Mais restera toujours un peu de toi en moi.
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3. |
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100 JOURS, 3 HEURES, 24 SECONDES
(paroles et musique : Ludovic Lefèvre)
Non, ce n’est pas la fin du monde ;
Y en a tant d’autres qu’ont vécu ça.
Cent jours, trois heures, vingt-quatre secondes –
Vingt-cinq, maintenant – que t’es plus là.
Et les jours passent, semblables et sans saveur ;
Rien ne remplace ton odeur.
Parfois je crois que je vais devenir fou
À force de penser à nous…
REFRAIN : Et le temps passe, rien ne t’efface ; je rêve toujours que tu reviens,
Mais dans la glace, triste surface, il n’y a que moi et mon chagrin,
Là où se tenait ton visage, blotti contre le mien…
Non, ce n’est pas que je t’en veuille ;
Je sais bien que l’on n’y peut rien.
L’amour bien sûr a cet écueil
Qu’il doit un jour connaître une fin.
Et les jours passent, semblables et sans couleur ;
Rien ne remplace tes humeurs.
Et tous les beaux discours ne servent à rien ;
Je veux juste retrouver ta main…
REFRAIN : Et le temps passe, rien ne t’efface ; je rêve toujours que tu reviens,
Mais dans la glace, reflet tenace, il n’y a que moi et mon chagrin,
Là où se tenait ton visage, blotti contre le mien…
REFRAIN : Et le temps passe, le temps se lasse, et c’est toujours le même refrain ;
Là, sur la place, le vent pourchasse les feuilles mortes du matin,
Oui, le temps passe, rien ne t’efface ; je rêve toujours que tu reviens,
Mais dans la glace, triste surface, il n’y a que moi et mon chagrin…
(Rien ne t’efface, rien non, rien ne te remplace,
Ne t’efface, rien non, rien ne te remplace,
Ne t’efface, rien non, rien ne te remplace,)
Et le temps passe, rien ne t’efface ; je rêve toujours que tu reviens…
(Ne t’efface, rien non, rien ne te remplace.)
Et sur la place le vent pourchasse les feuilles mortes du matin…
(Rien ne t’efface, rien non, rien ne te remplace.)
Je rêve toujours que tu reviens…
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4. |
Chaque jour avec toi
04:06
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CHAQUE JOUR AVEC TOI
(paroles et musique : Ludovic Lefèvre)
Je ne m’y attendais pas,
T’es venue sans crier gare,
Juste un pas à la fois,
Et à terre tous mes remparts…
REFRAIN : Et tu m’envoles,
Oui, tu m’envoles,
Tu me cajoles,
Blotti dans tes bras ;
Et tu m’envoles,
Tu me décolles,
Tu m’acropoles,
Pas après pas,
Chaque jour avec toi.
Je n’espérais plus,
J’avais cessé d’y croire,
Je crois que j’étais perdu,
Et puis toi, et puis ce nouveau départ…
REFRAIN : Et tu m’envoles,
Oui, tu m’envoles,
Tu me consoles
De l’avant-toi ;
Et tu m’envoles,
Tu me batifoles,
Tu m’auréoles,
Joie après joie,
Chaque jour avec toi.
Bien sûr ce n’est rien,
Ma main dans ta main :
Juste dix phalanges qui se collent ;
Mais quand tu me tiens
Là, contre ton sein,
Moi, je jurerais quitter le sol…
REFRAIN : Et je m’envole…
Enfin, je m’envole…
Sans fin je décolle,
Quand chuis avec toi…
Et on s’envole…
Oui, on s’envole…
Sans voile, sans boussole,
Juste toi et moi…
REFRAIN : Et tu m’envoles,
Tu me cabrioles,
Tu me tournesoles,
Encore tu m’envoles…
Et tu m’envoles,
Tu me farandoles,
Tu me lucioles ;
Toujours tu m’envoles…
Et tu m’envoles…
…
Pas après pas,
Chaque jour avec toi.
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5. |
J'y crois encore
04:28
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J’Y CROIS ENCORE
(paroles et musique : Ludovic Lefèvre)
Je n’ai pas bien saisi la route, le chemin,
Qui m’a mené jusque là ;
J’ai dû rater le coche sans doute, le bon train,
Pour me perdre dans tes bras,
Je n’ai pas su me méfier suffisamment,
Je n’ai pas cru à un danger, mais maintenant…
REFRAIN : J’y crois encore, encore, encore, encore, j’y crois encore,
J’ai beau essayer d’oublier,
Et ça me mord, dévore, dolore, dès lors d’y croire encore,
De croire que tu pourrais m’aimer.
C’était dans ces instants fragiles, insouciants,
Où l’on oublie toute pensée ;
Moi, j’ai suivi mon cœur, docile, inconscient,
Et je me suis pris à t’aimer,
C’était pourtant simple à comprendre, une évidence,
Qu’il n’y avait rien à attendre de cette danse, mais…
REFRAIN : J’y crois encore, encore, encore, encore, j’y crois encore,
J’ai beau essayer d’oublier,
Et ça me mord, dévore, dolore, dès lors d’y croire encore,
De croire que tu pourrais m’aimer.
Combien de rêves ? Combien de doutes ?
Combien d’espoirs, et de fausses routes ?
Combien de temps et de tourments encore ?
Même si encore y croire, je le sais bien, est dérisoire,
Je veux, même si j’ai tort, garder au moins un peu d’espoir…
REFRAIN : Et croire encore, encore, encore, encore, et croire encore,
Croire contre toute réalité
Que vient l’aurore d’un corps à corps, où je pourrai alors
Goûter à l’or de tes baisers,
REFRAIN : J’y crois encore, encore, encore, encore, j’y crois encore,
J’ai beau essayer d’oublier,
Et ça me mord, dévore, dolore, dès lors d’y croire encore,
De croire que tu pourrais m’aimer.
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Ludovic Lefèvre France
NOUVEL EP DISPONIBLE (le lien 👇🏻) !
Auteur, compositeur, et interprète, la première chose que
l’on remarque chez Ludovic, c’est sa voix.
Cette voix à la fois douce et puissante, pleine d’émotions, il en joue avec aisance pour proposer une musique originale, entre pop et chanson française, dans laquelle sonnent des mots simples et poétiques.
Un artiste entier, à l’univers romantique et lumineux.
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